Le choix de l’intérêt général est ce qui guide les décisions de notre majorité municipale. Nos investissements doivent servir au plus grand nombre, et remplir des objectifs fondamentaux, j’allais dire républicains, en matière d’éducation et de santé.
La reconstruction de la cuisine centrale se situe pile au croisement des deux priorités que je viens de mentionner. Pour rappel, fin 2017, la nouvelle cuisine centrale pourra produire jusqu’à 6 000 repas jour, contre 3 200 aujourd’hui, avec des pointes à 4 500. Les bénéficiaires seront les écoliers vénissians, les enfants dans nos crèches, et les personnes âgées dans nos résidences. L’Etat, par l’intermédiaire du préfet du Rhône, a décidé d’attribuer une dotation de la politique de la Ville (ex-DDU, dotation de développement urbain), à hauteur de 1,2 million d’euros pour la nouvelle cuisine centrale. Je m’en félicite à plus d’un titre. Cette dotation valorise le rôle de la cuisine centrale de Vénissieux, et légitime le fait que l’on garde une maîtrise publique, en matière de santé. Elle intervient après le soutien par l’Etat, de deux de nos autres programmes majeurs. L’école Flora Tristan, qui a reçu une dotation de la politique de la ville de presque 1,2 million d’euros, et Bizarre, bénéficiaire d’une dotation de plus de 1,1 million d’euros.
Nos choix sont ainsi validés, mais c’est aussi tout le travail en amont, mené par nos services, qui est mis en exergue. Santé, culture, éducation, l’intérêt général a prévalu dans ces 3 projets, et c’est lui qui est triplement renforcé.
Je vous remercie.
